Augmentations 2008 - Une histoire sans fin !
Episodes précédents : les salaires inférieurs à la moyenne (45 201 euros/an) devaient être augmentés de 2 % au 1er octobre. Parmi eux, les salaires non revalorisés depuis le 01/01/06 devaient avoir 2 % de +.
Au final, 91,4 % des employés éligibles ont bénéficié d'une augmentation d’au moins 2 %.
8,6% n'étaient pas éligibles car « ne répondent pas aux attentes » ou « ont besoin d'accompagnement pour répondre aux attentes ».
La référence est l'évaluation mentionnée dans l'outil interne PMP.
Premier problème : ces évaluations sont du seul ressort du responsable, qui en fait ce qu’il veut.
Deuxième problème : pour les 105 salariés dont l'évaluation n'avait pas été renseignée avant le 1er octobre dans PMP, la DRH a demandé aux « managers » concernés de fournir une évaluation. La DRH leur a fait confiance comme de bien entendu.
Mais les anomalies sont nombreuses : des évaluations ont été faites alors que les entretiens n’ont pas eu lieu ; des PMP ont été renseignés sans la présence du salarié ; et on en passe et des meilleures comme celle d’un salarié en congé maladie évalué très négativement alors que c’était bon six mois plus tôt…
La DRH reconnaît que la procédure PMP n’est pas fiable à 100 % mais elle préfère accorder sa confiance aux « managers » qui n’ont même pas le courage de leurs opinions car ils ont peur d’expliquer aux salariés pourquoi ils ont trafiqué leurs PMP.
La direction peut se targuer d’avoir procédé à des ajustements pour une dizaine d'employés, liés à des raisons diverses. Elle a également répondu aux interrogations des salariés concernés. Il n’en demeure pas moins que la seule loi est que même si le manager a tort, il a raison…
La direction recommence sans fin le même discours !
Au final, 91,4 % des employés éligibles ont bénéficié d'une augmentation d’au moins 2 %.
8,6% n'étaient pas éligibles car « ne répondent pas aux attentes » ou « ont besoin d'accompagnement pour répondre aux attentes ».
La référence est l'évaluation mentionnée dans l'outil interne PMP.
Premier problème : ces évaluations sont du seul ressort du responsable, qui en fait ce qu’il veut.
Deuxième problème : pour les 105 salariés dont l'évaluation n'avait pas été renseignée avant le 1er octobre dans PMP, la DRH a demandé aux « managers » concernés de fournir une évaluation. La DRH leur a fait confiance comme de bien entendu.
Mais les anomalies sont nombreuses : des évaluations ont été faites alors que les entretiens n’ont pas eu lieu ; des PMP ont été renseignés sans la présence du salarié ; et on en passe et des meilleures comme celle d’un salarié en congé maladie évalué très négativement alors que c’était bon six mois plus tôt…
La DRH reconnaît que la procédure PMP n’est pas fiable à 100 % mais elle préfère accorder sa confiance aux « managers » qui n’ont même pas le courage de leurs opinions car ils ont peur d’expliquer aux salariés pourquoi ils ont trafiqué leurs PMP.
La direction peut se targuer d’avoir procédé à des ajustements pour une dizaine d'employés, liés à des raisons diverses. Elle a également répondu aux interrogations des salariés concernés. Il n’en demeure pas moins que la seule loi est que même si le manager a tort, il a raison…
La direction recommence sans fin le même discours !